Pliage en forme de M, ce qui permet d’ouvrir un dépliant à la manière d’un accordéon (de 3 à 10 plis et plus).
Ajout d’un texte oublié sur un imprimé.
Effet non désiré lié au tramage, faisant apparaître des escaliers sur les lignes en biais et sur les bords des photos.
Tirage simultané, sur une même feuille, de documents différents prévus sur le même papier et dans les mêmes couleurs.
Déformation horizontale et/ou verticale d’un caractère ou d’une image, par le biais de l’informatique.
L’angle de trame désigne l’angle en degrés selon lequel sont orientés les alignements de points de trames de chaque couleur, un écart d’angle de trame peut provoquer un moirage.
Surface totale d’un document recouvert uniformément par une couche d’encre.
Déterioration à l’impression de la surface du papier.
Rassemblement des différents cahiers afin d’obtenir un livre dans l’ordre de reliures. L’assemblage : les cahiers les uns à côté des autres et l’encartage : cahiers les uns dans les autres.
Résultat obtenu après sélection photographique en deux couleurs directes d’un document original couleur ou après interprétation d’un document noir demi-teinte (Photogravure).
Résultat obtenu après sélection photographique en deux couleurs directes d’un document original couleur ou après interprétation d’un document noir demi-teinte (Photogravure).
Bon à Tirer / Bon à Graver : Acceptation signée par le commanditaire au photograveur ou à l’imprimeur, lui donnat son accord pour l’impression. La signature du BAT sur maquette ou épreuve couleur contractuelle dégage l’imprimeur de toute responsabilité en cas d’erreur ou d’omission aprés impression. Il s’agit d’une pièce juridique en cas de litige.
Acronyme de Benjamin Day, américain et inventeur du procédé au XIXe siècle, consistant à superposer des trames de couleur primaire afin d’obtenir une teinte CMJN sans dégradé.
Impression en deux couleurs primaires ou tons directs.
Sur une presse, se trouvant entre le cylindre de plaque et le cylindre de contre-pression, assurant l’impression par transfert d’encre, il est constitué de caoutchouc.
Façonnage de plusieurs cahiers sous couverture souples.
Groupe de pages résultant du pliage d’une feuille (multiple de 4 pages ). Pour une brochure ou une reliure, les cahiers sont superposés ou insérés les uns dans les autres selon le cas.
Mise en route d’une presse offset, réglage des encres, du repérage.
Action mécanique consistant à lisser le papier entre deux rouleaux.
La calibration de la chaîne graphique cherche à harmoniser la représentation de l’image à travers les éléments qui composent cette chaîne. Dans l’univers de la PAO, la offset ne couvrent pas les mêmes panels de spectre lumineux (gamut) et reproduisent les couleurs sous des modes différents (RVB / CMJN). Il est primordial d’ étalonner un écran si l’on souhaite pré-visualiser les couleurs le plus fidèlement possible par rapport à l’impression finale du document.
Lettres majuscules
Lettres d’imprimeris – ensemble des lettres d’un alphabet déterminé : famille de caractères.
Carton avec un grammage débutant à 250 gr.
Substance fibreuse tirée du bois, du coton, du lin, du chanvre et autre splantes. C’est l’élémnet solide dse végétaux utilisé pour la fabrication de la pâte à papier.
Le fond perdu consiste à faire déborder le fond (couleur ou image) en dehors du format d’impression final pour une impression sans marge, ce qui permet aussi de faciliter la coupe au massicot.
Pli parallèle effectué avec des intervalles irréguliers.
Découpages qui ne peuvent s’effectuer au massicot (peut être associée à des rainages pour faciliter le pliage). Réalisée avec une forme composée de filets en acier raineurs et/ou coupants.
Les images matricielles (bitmap) sont également définies par leur définition et leur résolution. La définition d’une image est définie par le nombre de points la composant. En image numérique, cela correspond au nombre de pixels qui compose l’image en hauteur et en largeur. La résolution d’une image est définie par un nombre de pixels par unité de longeur de la structure à numériser (classiquement en ppp). Plus le nombre de pixels par unité de longueur de la structure à numériser est élevé, plus la quantité d’information qui décrit cette structure est importante et plus la résolution est élevée.
Pratiquée dans un fond de couleur, afin d’afficher le papier, ou d’éviter la superposition de couleurs.
Arrachage de la couche supérieure d’un papier consécutif au fort tirant d’une encre ou d’un vernis.
Image non tramée présentant des nuances de gris ou des dégradés.
Opacité et transparence, mesurable avec un densitomètre, des valeurs d’un film pour le contrôler avant la copie. Terme employé afin de mesurer la densité des encres (optique) et des solvants de gravure (poids).
Appareil de mesure de densité des couleurs. il permet de fournir des informations sur la linéature, la taille du point de trame , les valeurs du noir (densité de 4 à 5) et enfin les valeurs demi-ton non tramées.
Partie de la moitié d’un cahier qui dépasse de 8 à 10 mm aprés son pliage, servant au façonnier, lui assurant une prise plus rapide et plus sûre par l’encarteuse.
L’imprimeur ou l’éditeur est obligé de faire, au profit des collections nationales, le dépôt d’un ou plusieurs exemplaires des ouvrages imprimés (sauf travaux de ville).
Action qui consiste à ne conserver qu’une partie précise d’une image. Une quadrichromie est dite détourée lorsque la photo n’apparaît pas dans la mise en page.
Document en noir et blanc, exempt de toute demi-teinte.
Original destiné à la reproduction en photogravure avant l’impression.
Méthode d’impression en relief et à chaud de motifs à la feuille d’or et par extension d’aplats métallisés et de couleurs.
Côté pliure d’un cahier ou côté charnière d’un livre.
Cahiers assemblés et collés dans une couverture à dos carré.
Cahiers assemblés, cousus et collés dans une couverture à dos carré.
Dot Per Inch, soit point par pouce. Cela défini la qualité d’impression d’un fichier numérique. Le Dpi est une unité de précision. Plus cette valeur est élevés et meilleure est la qualité. La trame de base constituant le nappage d’une image numérique, que ce soit en imprimerie ou en photographie numérique, est définie en dpi. Exemple, pour une photographie numérisée destinée à l’impression, il est d’usage de l’échantillonner à 300 Dpi.
Rapport des dimensions de l’image reproduite à celle de la partie correspondante de l’original.
Dessin d’une lettre en haut et en bas d’un jambage.
Elément supplémentaire d’une brochure placé à un endroit déterminé ou indéterminé dans cet ouvrage.
Placement d’un encart, insertion d’un cahier dans un autre (ex: pour une brocure piquée).
Découpe des pages d’un ouvrage afin de faciliter la recherche d’un début de partie. Se dit « coup de pouce » lorsqu’elle est de la forme d’un demi-cercle.
L’encre est une substance fortement teintée, généralement noire, qui sert à marquer le support, papier, textile. Les encres sont utilisées pour l’écriture, le dessin, l’impression ou la décoration.
Trois encriers et une plume en verre
L’encre est généralement conditionnée en flacons, bouteille ou bidons pour son transport. Certains de ces flacons peuvent servir d’encrier. Elle peut aussi être sous forme solide (« bâton »).
Déformation du point de trame par rapport à sa valeur absolue.
Se dit des travaux de finition dans la fabrication d’un livre : arrodissement du dos, pose d’un signet, de tranchefile…
Aspect d’une feuille examinée par transparence pour juger de son opacité.
Tirage sur papier d’une composition pour contrôle. cromalin analogique ou numérique.
Un document au format EPS vectoriel est un fichier en langage Postscript décrivant le contenu d’une image ou d’une page complète (textes, filets, images importées). Contrairement aux Postscript qui ne peuvent être destinés qu’à l’impression, le fichier EPS peut être visualisé et importé dans bon nombre de logiciels de dessins de PAO et de mise en page.
Correction d’un texte sur un encart volant.
Réalisation d’un creux ou d’un relief sur un support papier, pour l’obtention d’un gauffrage ou avec encrage pour celle d’un timbrage.
Mode de communication et de collaboration entre entrerpises utilisant les technologies de l’internet. Réseau privé limité à une population identifiée.
Opérations de finition, donnant aux imprimés leur forme définitive. exemples : pliage, assemblage, encartage, piqûre, couture, reliure.
Lorsque la ligne finale d’une grande division (partie ou chapitre) se trouve en page impaire (= page de droite ou belle page), la division suivante tombe en fausse page; On préfère alors généralement laisser cette page en blanc et reprendre en belle page.
Outil de bronze dont le relief permet de reproduire en impression à chaud un document en dorure.
Forme et contre-forme gravées permettant de réaliser un relief (ou un creux) dans la texture du papier.
Appelation désignant une subdivision de la feuille. Dans un ouvrage, un feuillet représente deux pages, soit deux faces.
Traits continus ou pointillés d’un document.
Motif réalisé lors de la fabrication du papier, par l’écrasement des fibres dans l’épaisseur de la feuille et visible en transparence. Image en filigrane : image imprimée en fond de page, dans un tramé léger.
Ensemble des traitements subit par les travaux de leur sortie de presse à leur expédition.
Procédé d’impression en relief, appelé également « impression à l’aniline »
Chiffre de numérotage des pages d’un ouvrage.
Numérotation des pages.
Le fond perdu consiste à faire déborder le fond (couleur ou image) en dehors du format d’impression final pour une impression sans marge, 2 mm au minimum (en règle générale, 0.5 mm).
Structure réalisée sur mesure et dans laquelle sont entre-chassés des filets coupants et raineurs permettant d’obtenir une forme particulière du produit fini.
Malformation du papier apparaissant en relief au verso de la feuille due à une pression exagérée à l’impression typographique.
Format dont la plus grande dimension est la hauteur.
File Tranfert Protocol. Solution logicielle client ou serveur assurant le transfert de fichiers entre deux machines. Celles-ci est couramment utilisée pour le tranfert de gros fichiers.
Phénomène d’origine chimique, altérant la structure du papier et provoquant un effet visuel de report atténué d’éléments imprimés de l’autre côté de la feuille.
Un dessin vectoriel est une représentation composée d’obets géométriques (lignes, points, polygones, courbes…) ayant des attributs de forme, de position, de couleur… permettant de produire des images. Il se différencie de cette manière des images matricielles (bitmap) dans lesquelles on travaille sur des pixels.
En imprimerie, action consistant à répartir les pages d’un ouvrage sur la forme imprimante (feuille) afin de constituer des amalgames ou des cahiers. Il ne faut pas fournir des fichiers imposés, l’imprimeur se charge de cette tâche.
L’imprimerie est un ensemble de techniques permettant de reproduire des écrits et des illustrations en grande quantité sur des supports plans, généralement du papier, et pouvoir ainsi les distribuer à grande échelle. Les techniques, communément appelées chaîne graphique, vont de la composition des textes au façonnage (reliure, pliure…) en passant par le traitement des illustrations (photogravure, photos, dessins, gravures), l’impression et la relecture. Le terme d’industries graphiques est apparu après la Deuxième Guerre mondiale pour remplacer celui d’imprimerie trop générique.
Action de réaliser ou retoucher des dessins ou des photographies, en vue d’une publication imprimée ou électronique à l’aide d’un ordinateur.
Espaces fins entre les lettres d’un mot. Approche plus ou moins serrée à préciser lors du calibrage.
Espace variable entre les mots dont l’ajustement vise à améliorer la lisibilité du texte ou à faire tenir un bloc typographique dans un espace donné.
Blanc mesurable en points, ajouté entre deux lignes de texte afin de l’aérer.
Réseau informatique interne propre à une structure et accessible seulement de l’intérieur.
Format dont la plus grande dimension est la largeur .
Format de fichier comprimant des images moyennant une certaine perte de qualité.
Papier d’emballage trés résistant obtenu à partir de pâte chimique au sulfate ou à la soude. Mot d’origine allemande signifiant « force ».
Qualité et marque d’un papier couché trés brillant. L’aspect émaillé est obtenu par calandrage avec un cylindre chromé à chaud.
Largeur de la bande du papier en bobine.
LPI ( lines per inch). Nombre de lignes ou de points par pouce qui sert à définir la finesse d’une trame et sa valeur de restitution. Cette linéature dépend du procédé, de la machine et du support employés.
Marque d’une machine à composer sortant des lignes entières de textes, dite « lignes-blocs ».
Procédé d’impression à plat, ancêtre de l’offset, utilisant une pierre poreuse et basé sur la répulsion de l’eau et de la graisse. N’est plus vraiment utilisé que pour les oeuvres d’art.
Emblème graphique d’une société ou d’une collectivité.
Acronyme de Lines Per Inch (ligne par pouce). Cette unité de mesure désigne le nombre de points detrame par pouce (1 pouce = 25.4mm). Plus le nombre de lignes par pouce est élevé, plus la finesse de l’impression sera élevé et donc meilleure sera la qualité de l’image. En offset, les linéatures se situent entre 133 et 200 lpi selon la nature du papier et le type d’ouvrage à réaliser. En sérigraphie elles se situent entre 55 et 58 lpi. En roto, les trames exploitées varient entre 85 et 133 lpi.
Défaut d’impression. L’encre ne séche pas suffisamment sur le papier et vient souiller la feuille suivante. Cela peut être dû à la qualité du support (il est trop fermé, ne laisse pas pénétrer l’encre, qui reste en surface), à la qualité de l’encre, qui ne séche pas assez vite ou au taux d’encrage trop élevé (supérieur à 300 %).
Feuille de papier utilisée pour le calage de la machine (voir Passe)
Tout document destiné à un routage par voie postale.
Rapport entre l’épaisseur et le grammage du papier : un papier a de la main lorsqu’il paraît rigide et épais par rapport à son grammage.
Projet d’une édition, en rough ou finalisée, tentant de donner l’aspect de ce que sera l’exemplaire imprimé.
Machine à couper le papier, portant le nom de l’inventeur.
Effet d’altération de la perception des couleurs entre les différentes sources lumineuses (reflet…).
Mise en place des éléments constituant un visuel de communication. Les mises en pages sont généralement réalisées avec des logiciels dédiés, d’aprés un projet fourni par le client.
Phénomène visuel indésirable dû à un écart insuffisant de l’angle d’inclinaison des trames. Un document déjà imprimé ou un tissu peuvent aussi présenter des défauts de moirage lorsqu’ils sont reproduits en presse.
Charnière d’un livre, entre le dos et les plats, consécutif au serrage nécessaire à l’arrondissement du dos et permettant une meilleure ouverture de l’ouvrage.
Dispositif permettant d’humidifier la plaque offset (par le principe de répulsion entre l’encre grasse et l’eau, les zones humides de la plaque ne seront pas imprimées).
Outil de travail présentant les différentes teintes. Certaines dans la gamme des couleurs quadrichromiques obtenues par les diverses combinaisons de benday, d’autres de celles des couleurs d’accompagnement obtenues par mélanges de différentes teintes (pantones).
To set off, reporter. C’est une amélioration de son ancêtre, la Lithographie. L’offset conventionnel est fondé sur la répulsion de l’eau-graisse en créant une émulsion entre la solution de mouillage et l’encre grasse. C’est le principe de l’antagonisme eau et gras. La plaque aluminium gravée (forme imprimante) reporte l’image sur le blanchet, qui à son tour reporte l’encre sur le papier. L’offset est actuellement le procédé majeur d’impression. Son succès est dû à sa souplesse et sa capacité à s’adapter à une large variété de produits. Il permet de couvrir une gamme de tirages relativement large. Ce procédé d’impression fournit des produits de qualité, à un coût relativement faible.
Côté d’un feuillet, soit le recto, soit le verso.
Numérotage des pages.
Le pantone est un mélange physique de couleur, les encres sont mélangées par le conducteur de presse avant d’imprimer. Le système pantone d’origine s’est donc appuyé non pas sur quatre, mais sur 14 couleurs primaires. Le nuancier, que les imprimeurs appelent aussi pantonnier, qui comprend pas moins de 800 teintes donne en fait les proportions de chacune de ces 14 teintes de base. La quadrichromie, au contraire est un mélange optique de la couleur.
Publication Assistée par Ordinateur, est l’ensemble des procédés informatiques permettant de fabriquer des documents destinés à l’impression. C’est l’évolution logique et historique de la typographie puis de la photocomposition.
C’est un papier qui a subi un traitement de surface lui donnant un bon lissé. Le terme couché n’implique pas nécessairement la notion de brillance puisqu’il existe, outre les papiers couchés brillants, des papiers couchés satinés et des papiers couchés mats. Un papier non couché (offset, bouffant, création) absorbe plus facilement l’encre.
Quantité supplémentaire de bonnes feuilles nécessaire aux calages des différentes opérations de façonnage avant d’arriver au produit fini.
Le Portable Document Format est un format de fichier informatique créé par Adobe, en tant que évolution du format PostScript. l’avantage du PDF est qu’il préserve les polices, les images, les objets graphiques et la mise en forme de tout document source, quelles que soient l’application qui l’a produit et celle utilisée pour le lire. Les fichiers PDF peuvent être crées avec des options personnalisées, tant au niveau de la compression des images et des textes, de la qualité d’impression du fichier, que du vérouillage. Le format PDF s’est imposé comme format d’échange et d’archivage de documents électroniques.
Procédé de finition qui ajoute aprés impression, c’est une opération dite de façonnage, une mince couche de polypropylène brillant ou mat, donnant une finition parfaite au support sur une ou deux faces.
Décollement de particules de la couche de papier qui subissent un arrachage et qui adhèrent à la forme imprimante.
Opération consistant à réaliser des trous de différents diamètre (trou de classeur…). La micro-perforation permet de pré-découper le papier afin de le détacher facilement (ex: carnet à souche).
Petit artefact indésirable sue le film, la plaque ou le papier.
Ensemble des techniques photomécaniques qui concourent à la réalisation des éléments imprimants : typons, clichés ou cylindres(ainsi que le traitement numérique des images et des couleurs).
Unité de mesure égale à 1/6 de pouce environ. Le pica vaut 12 points (le pica anglo-saxon mesure 4.51 mm).
Opération de brochage destinée à maintenir à l’aide de piques en métal (agrafes) les diverses pages d’une brochure.
Support photo sensible en aluminium utilisé en imprimerie pour le transfert de l’image sur le papier.
Acronyme de « publicité sur le lieu de vente ».
Unité de mesure typographique égale à 1/72 de pouce (0.353 mm) environ. Le Pica vaut 12 points.
Zone la plus claire de l’image.
Mesure typographique (0.3759 mm), douzième du douze ou du cicéro.
Une police d’écriture, en typographie, est un ensemble de glyphes, c’est à dire de représentations visuelles de caractères d’une même famille, qui regroupe tous les corps et graisses d’une même famille, dont le style est coordonné, afin de former un alphabet, ou la représentation de l’ensemble des caractères d’un langage, complet et cohérent. Il est fréquemment confondu avec le terme fonte qui désigne l’ensemble dse caractères correspondant aux mêmes caractéristiques de corps, graisse et italique au sein d’une même police.
Impression en plusieurs couleurs superposées ou juxtaposées, réalisée en ton directs.
Lignes parallèles espacées entrecoupant les vergeures dans l’épaisseur d’un papier vergé.
Produit imprimé dont l’ouverture déclenche la saillie de parties spécialement découpées et collées.
Le postscript est un langage de programmation spécialisé dans la description de page, mis au point par Adobe. Il repose sur des formulations vectorielles de ses éléments. Ce langage inter-plateformes permet d’obtenir un fichier unique comportant tous les éléments décrivant la page et de faire la liaison entre les ordinateurs et les unités de sortie telle que les imprimantes.
Acronyme de point par pouce. Unité de mesure de la résolution à laquelle un périphérique affiche les textes et les graphiques. La résolution moyenne d’un moniteur est de 100 ppp, une imprimante laser sup ou égale à 300 ppp.
Désigne toutes les opérations conceptuelles, graphiques et techniques nécessaires à l’impression et au façonnage.
Application d’un vernis acrylique sur un imprimé destiné à faciliter le pelliculage ou l’impression d’une encre spécifique.
Contrainte mécanique. Bande de papier non imprimable sur la feuille par laquelle elle est saisie et maintenue durant l’impression, par la presse.
La quadrichromie ou CMJN (cyan, magenta, jaune, noir) est un procédé d’imprimerie permettant de reproduire un large spectre colorimétrique à partir des trois teintes de base CMJ auxquelles on ajoute le Noir. Le CMJ sont les trois couleurs primaires en synthèse soustractive, contrairement au rouge, vert, bleu RVB ou RGB qui le sont en synthèse additive.
Empreinte en creux sur les papiers à fort grammage destinée à en faciliter le pli.
L’unité quantitative du papier est la rame. Une rame est composée de 500 feuilles d’un même papier. Cette rame est elle-même décomposée en 25 mains de 25 feuilles.
500 feuilles de papier dans un format obtenu par massicotage d’une rame. Le format le plus usité est le 210 x 297 mm.
C’est le procédé consistant à convertir une image vectorielle en une image matricielle destinée à être affichée sur un écran ou imprimée par un matériel d’impression.
Impression complémentaire d’un ouvrage déjà imprimé (exemple : personnaliser un document par l’ajout d’un logo lors d’un second passage en presse).
Objet ou texte en défonce sur une ou plusieurs couleurs.
Degré de finesse d’une reproduction ou d’un flashage. Elle s’exprime en ppp ou dpi.
Impression en un seul passage des deux côtés de la feuille en presse (presse 8 couleurs).
Raster Image Processor, c’est un outil informatique permettant de tramer des données afin de les rendre imprimables. Le RIP fait le lien entre des données informatiques et des données exploitables pour l’impression.
Partie des éléments visuels de la page qui seront massicotés lors de la coupe (voir débord).
Machine à imprimer en continu, utilisant du papier en bobine.
Esquisse réalisée manuellement d’un projet de mise en page, d’une photo à réaliser.
Action de faire tourner la machine en production aprés l’opération de calage.
Toute opération d’envois groupés à des adresses particulières.
Rouge, Vert, Bleu modèle chromatique basé sur la synthèse additive (le mélange des 3 couleurs primaires, la lumière forme le blanc). Utilisé pour l’affichage vidéo, à proscrire pour l’impression offset.
La taille d’une image numérique est déterminante. Elle doit être importante dans le cas d’une qualité maximale pour l’impression (300 dpi) mais faible dans le cas de transmission par internet (72dpi). Il ne suffit pas d’indiquer la résolution d’une image pour définir sa taille mais il faut préciser sa dimension, parler d’une image en 300 dpi ne veut rien dire si on ne précise pas son format (ex : 210 x 297 mm en 300dpi).
Procédé d’impression en creux réalisé à l’aide d’une gravure manuelle sur cuivre.
Teinte assombrie par addition de noir (diminuant son éclat).
Ensemble des éléments graphiques communs placés au même endroit à chaque en-tête de page.
Procédé typographique d’impression qui, à l’aide d’une encre épaisse et d’un séchage spécifique tente d’imiter la réalisation en gravure taille-douce.
Epreuve machine considérée comme bonne et servant de référence tout au long du roulage (voir BAT).
Tag Image File Format, est un format de fichier pour image numérique. Le TIFF non compressé est un format courant et lu par tous les logiciels de traitement d’image matricielle, il est extrémement flexible.
Gravure taille-douce dans un bloc d’acier, produisant un effet de relief par un léger estampage et une forte charge d’encre.
Action d’imprimer. Quantité d’exemplaires d’une impression.
Désigne une couleur d’impression spécifique autre qu’une des quatres couleurs (CMJN). En France, le ton direct est le plus souvent une couleur Pantone.
Document ne comportant qu’une teinte pure et un blanc pur à l’exclusion de tout dégradé.
Petits filets horizontaux et verticaux portés de part et d’autres des angles d’un document, dans l’aplomb du format fini. Ils servent à l’opération de massicotage.
Le tramage est une variation de contraste d’une image lorsqu’elle est numérisée (scanné). Cet artéfact résulte de la superposition entre le réseau de points de l’image et le réseau de points du dispositif de numérisation (voir moirage).
La trame correspond à un maillage de points permettant de reproduire les similis, elle est mesurée en linéature (point par pouce).
Méthode de photogravure par sélection des couleurs en films tramés directement.
Galon de tissus collé en haut et en bas du corps d’un livre.
Phénomène de refus d’une encre sur une autre, fraîchement imprimée. Recouvrement, par dilatation ou contraction, des objets en couleur adjacents, afin de prévenir l’apparition de lézardes entre les objets sur la presse.
Résultat obtenu avec trois couleurs de base, généralement sans le noir.
La valeur d’une couleur est son aspect clair ou foncé.
Système de contour d’un dessin par coordonnées de points (courbe de Bézier).
Papier d’écriture de haute qualité, non vergé. Utilisée en reliure d’art.
Papier avec vergeures. La vergeure (on prononce verjure) est la trace que laisse le tamis dans la feuille terminée. Elle se lit dans l’épair (aspect du papier vu en transparence). Elle résulte d’une différence de densité de la feuille, plus lourde dans les parties sombres plus légère dans les claires. Les vergeures sont liées par un fil qu’on appelle la chaînette. La taille des vergeures, leur nombre au cm, l’espacement des chaînettes ont constamment varié au fil du temps, en fonction de considérations techniques et sans doute de modes.
Protection ajoutée sur la feuille imprimée afin d’éviter les salissures, le maculage…Il peut être mat,brillant ou satiné. Il existe des vernis machine offset, acrylique, UV et/ou sérigraphique. Un vernis sélectif gras complété par un vernis acrylique, permet de créer des zones mates et brillantes (procédé Drip Off), sans le recours au pelliculage, ni au vernis sélectif UV (coût moins élévé et plus rapide).
Adhésif transparent destiné à être collé sur une vitre à l’intérieur pour une lisibilité extérieure.
Terme synonyme de feuillet, utilisé afin de parler de dépliant, ex : dépliant 3 volets.
Nom donné aux livres anciens que l’on conservait roulés. Ils étaient le plus souvent réalisés en papyrus (ne pouvant pas se plier). En différenciation du codex, livre à feuilles pliées et cousues.
Spirale métallique reliant les feuilles entre elles.
Procédé d’impression à sec basé sur la propriété de certains corps chargés d’électricité à devenir sensibles à la lumière.
Impression d’illustrations ou même de textes gravés à l’envers sur une planche en bois.
Zone en bord de page, ne devant comporter aucun élément essentiel (ni logo, ni texte). Il s’agit d’une zone de sécurité située prés de la coupe ou du pli (3mm sur la plupart des documents).
L'envoi de pièces jointes par mail est très souvent limité à 10 mo. Découvrons une solution pour partager vos fichiers sur le cloud très facilement avec Google Drive.
Pour obtenir un fichier pdf conforme à l'impression, il est nécessaire d'y intégrer du fond perdu et des traits de coupe. Nous allons vous guider pour réussir ces 2 étapes.
En impression, le papier présente des différences de coloris et de structures. C'est à ce moment que les profils colorimétriques interviennent.
Voici quelques exemples de plis les plus utilisés pour vos dépliants.
Le métier de l'imprimerie est un métier très technique et un glossaire est le bienvenue.
